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27 juin 2014

Mon livre en impression !

Un vendredi ensoleillé de juin. 10 h. Je suis devant l’écran et je n’arrive pas à croire ce qui m’arrive. Dans une autre fenêtre, un fichier intitulé « Intérieur PDF Journal_complet_contrôlé » portant les marques de coupe me fait un clin d’œil. Je viens de franchir l’étape de l’approbation finale. Dans une semaine, je prendrai possession d’une petite quantité de MON livre.

Ce rêve caressé depuis si longtemps se concrétise. Je ne cesse de répéter à qui veut bien l’entendre, depuis 1984, que je serai un auteur publié. J’y pense depuis si longtemps qu’entre la rencontre initiale avec l’éditrice et le livre frais dans mes mains, quatre-vingt dix jours se seront écoulés. Incroyable.


De quoi parle mon livre ? Quoi de mieux que de vous offrir le texte du couvert arrière, le C4 ?
Quand le bénévolat devient un tremplin
Entre un projet et sa réalisation, il y a d’abord un premier pas. S’il n’est jamais posé, ce rêve ou ce talent deviendra un saboteur passif. C’est souvent à travers le bénévolat que la première porte s’ouvre. Alors, toute la société voit poindre des hommes et des femmes plus grands que les modestes gestes qu’ils posent; des champions !

Pour un jeune timide comme l’était Christian, c’est une discussion avec un ami, additionnée à un peu de curiosité, qui l’a conduit à une réunion, puis à s’impliquer et s’envoler vers des jeunes issus de différentes cultures, pour enfin se retrouver aux Jeux olympiques comme bénévole. Cet accomplissement est la somme de milliers de premiers pas.

Comme chacun d’entre vous, Christian possède des talents et aussi des limites, et son désir de partager ses premiers pas l’a conduit cette fois à écrire un blogue, puis à donner quelques entrevues au retour de Vancouver et de Sotchi, puis à mettre entre vos mains ce livre sans pensées magiques, du succès sans ingrédients artificiels ajoutés, à 100 % réaliste. Entre les lignes, se projette l’idée même que la première marche du podium, c’est à chacun de nous de la choisir, à son rythme, à sa mesure. Le plaisir de se sentir vivant en est l’une des récompenses.

Vous serez étonné de découvrir un parcours ordinaire et une volonté extraordinaire d’aller de l’avant, d’affronter le défi du jour, puis de sourire en attendant le prochain saut, malgré l’adversité. Ce livre est la preuve que tant de personnes cherchent pendant des années, alors qu’elles hésitent à faire un premier pas. Pourtant, tout rêve, tout projet qui s’accomplit avec courage et passion, fait de nous des personnes inspirantes et nous garde créatifs.

Découvrez les dix étapes de cette ascension, puis prenez votre élan !
Et sur la colonne de gauche, ces mots.
Préface de Georges Brossard
Comment ne pas être motivé sinon ému lorsque Christian Fortin déclare tout bonnement comme ça : « Aimeriez-vous, mesdames et messieurs, donner une partie de votre temps et de votre expérience pour embellir un tant soit peu le monde ? » Je veux croire à cet univers-là, tout comme ces futurs lecteurs qui apprécieront grandement à leur tour ce modèle de générosité, de bénévolat et d’humanisme que tu dégages. Un plus pour tous, bénévolons !

Christian Fortin est né en 1968 à Québec et il réside maintenant en Montérégie, avec sa conjointe et ses trois enfants. Ce professionnel de l’événementiel corporatif et associatif trempe dans le bénévolat d’affaires depuis ses vingt ans. Christian possède cette rare capacité de favoriser les échanges humains, en faisant sauter les barrières entre les cultures d’un simple sourire ou d’une poignée de mains. En reconnaissance de ses réalisations, il a été intronisé, en 2000, au Temple de la Renommée de l’AIESEC International, une association étudiante présente dans plus de 124 pays. Passionné des gens et immensément curieux, ce bénévole sans frontière, qui a visité plus de quinze pays, a été décrit par le Journal de Chambly comme un « athlète de la découverte ».
Je jette un nouveau regard au fichier PDF de la couverture. Je sais où il y aura de l’embossage, du vernis. Je n’arrive pas à croire ce que je vis. Dans une semaine, j’aurai un produit fini dans mes mains. MON produit à MOI. Pas un catalogue ou une brochure faite pour le compte de mon employeur du moment. Non. MON produit. La concrétisation d’un rêve fou. Incroyable. Trop incroyable. Vous m’aidez à créer un best-seller avec ce premier livre ? Au Québec, il faut vendre plus de 3 000 exemplaires en librairie. Je rêve encore. Eh oui. Je lance toujours des rêves aussi capotés les uns que les autres. Ce serait vraiment cool de lancer une ré-impression au printemps 2015.

Mon chemin ne s’arrête pas là. Le livre sert de prélude pour la prochaine étape : devenir conférencier. Partir à la rencontre de bénévoles passionnés aux quatre coins du Québec, puis du Canada, et pourquoi pas, du monde !

26 juin 2014

Ne jamais abandonner. Demander de l’aide.

Le 19 mars dernier, j’ai failli tout abandonner. Dans un billet intitulé « Écrire un livre ! Tu parles d’une idée à la con ! », je m’avouais presque vaincu. J’étais sur le point de mettre une croix définitive à l’idée de publier un livre un jour. J’étais prêt à fermer mon blogue et passer à autre chose. J’aurais probablement passé le reste de mes jours à regretter cette décision… Je me suis donc offert une dernière chance, en terminant mon billet avec cette question : « Quelqu’un aurait un éditeur à me suggérer ? ».

La suite passera à l’histoire. L’écrivaine Suzie Pelletier, abonnée à mon blogue, reçoit mon cri du cœur alors qu’elle se trouve au Salon du livre de Paris. Elle me suggère d’écrire à son éditrice. Ce que je fais immédiatement. Vous connaissez la suite. Je rencontre Marie Brassard au début avril. Elle me demande tout bonnement, après m’avoir écouté raconter ma vie pendant près d’une heure : « Tu peux me fournir un manuscrit de 250 pages pour le 1er mai ? ». Je réponds « Oui » et repars à la maison.

Pendant l’écriture, je me suis dit que ce serait cool d’avoir une préface. Le nom de Georges Brossard, fondateur de l’Insectarium de Montréal, s’est imposé à moi. Je lui ai envoyé une lettre manuscrite. Le 27 mai, alors que je me trouvais au beau milieu d’une énergie incroyable à la conférence C2MTL, j’ai reçu un appel de Georges. Il était honoré de ma demande et acceptait ! Je ne portais plus à terre. La semaine dernière, j’ai été chez lui prendre livraison de la préface. J’ai passé deux heures en compagnie d’une légende. Et découvert un humain exceptionnel. J’ai hâte que vous fassiez la découverte de ce qu’il m’a écrit !

Lundi, veille de la Saint-Jean-Baptiste, j’ai reçu la première épreuve du montage du manuscrit. J’ai passé la soirée à réviser et ai continué mardi lors de mon réveil. Hier, à 15 h 30, j’ai reçu la 2e épreuve. De 16 h à 1 h du matin, je m’y suis attelé.

Pendant la soirée, j’ai reçu de l’éditrice l’épreuve finale de la page couverture. Au moment où vous lirez ces lignes, elle sera en impression. L’intérieur du livre suivra dans la journée. Si tout se déroule comme prévu (sortez vos chapelets sur la corde à linge !), j’aurai des copies dans mes mains le 4 juillet.


Je n’arrive pas à y croire. Il y a treize semaines, j’étais sur le point d’abandonner le plus important rêve de ma vie, alors que j’y étais presque. Pour la première fois depuis mon adolescence, je me suis permis de ne faire qu’une chose : écrire. Le résultat est là. Un livre de format 6 x 9 pouces, qui compte 320 pages.

D'ici peu, je serai en mesure de vivre mon plus vieux rêve : dédicacer mon propre livre.

Wow !

22 juin 2014

Le 400e billet !

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron. » Nous le connaissons tous, ce dicton. Mon blogue franchit un cap spécial aujourd’hui. Je publie, de l’aéroport Billy Bishop à Toronto, le 400e billet. Au cours des 67 derniers mois, j’ai partagé sur cette page mes découvertes de gens, de lieux et des histoires qui les lient.


Au départ, je ne comptais que raconter mes préparatifs et mon séjour à Vancouver, pour les Jeux olympiques. À mon retour, j’ai poursuivi la démarche, en racontant ma vie de planificateurs d’événements. En 2013, le blogue m’a servi d’exutoire pour libérer les trop grandes émotions que la faucheuse m’envoyait à répétition depuis 2012.

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron. » À raison d’une moyenne de six billets par mois, avec des pointes quotidiennes lors des Jeux, ainsi que lors de mon défi « 111 billets de 111 mots pendant 111 jours consécutifs », j’ai peaufiné mon style, découvert ma voix. Grâce au blogue, j’ai réussi à écrire des premiers jets directement à l’écran, chose que je ne faisais jamais auparavant.

Le blogue me sert de tremplin. Grâce à lui, j’ai découvert que mes mots touchaient les gens. Qui eut crû, le 14 novembre 2009, que ces premiers mots verraient un livre atterrir sur les rayons des librairies ? Ce weekend, lors de la réunion du quatrième trimestre du conseil d’administration d’AIESEC Canada, tous me demandaient quand mon livre sortirait en anglais. Quand même incroyable.

La relecture de ces centaines de milliers de mots m’a offert l’occasion de dégager le fil conducteur de ma vie et de passer à la prochaine étape.

Je vous laisse avec ces premières phrases de 2009.


Je me lance

J'y pense depuis des années. Bloguer. Toutes les raisons furent bonnes pour ne pas m'y mettre: "trop occupé, pas le temps, je n'ai rien à dire, quelle sera le lien directeur de mes publications?" Je suis un être d'une très grande curiosité. Tout m'intéresse. En moi vibre toujours l'enfant que j'étais. Regardez les yeux d'un bébé, qu'il soit humain, félin, canin: ils expriment la curiosité, la soif de découvrir, d'apprendre. Ils expriment la confiance en leur prochain.

Cette citation de Goethe me guide depuis de nombreuses années:
Quelles que soient les occasions qui se présentent à vous, quels que soient vos rêves, entreprenez-les. L'audace porte en elle génie, pouvoir et magie.
J'ai tant d'histoires à raconter à son propos. L'audace me guide. Je fais confiance à mon intuition et je vis mes rêves à fond. Je viens d'ailleurs d'en accomplir un qui trottait dans ma tête depuis ma tendre enfance à Québec: voler! J'ai obtenu ma license de pilote privé le 12 octobre dernier.

Le prochain rêve, qui a pris forme en février 2008, se produira du 12 au 28 février prochain. Je serai bénévole aux Jeux Olympiques de Vancouver , à Cypress Mountain, site des compétitions de ski acrobatique et surf des neiges.

J'ai donc trouvé la motivation et le lien directeur pour bloguer. Dans 90 jours, une expérience incroyable débutera pour moi. Je compte, par ces lignes et mes contacts avec des jeunes duprimaire de ma région, de l'AIESEC et dans mon travail d'agent de liaison à la Chambre immobilière du Grand Montréal, inspirer les gens à s'impliquer, à croire en leurs rêves et changer le monde. C'est parti!

19 juin 2014

Tourner la page sur quatorze années de vie

Hier après-midi, j’ai participé à ma dernière activité en tant que parent bénévole à l’école primaire de Richelieu. En cette fin d’année scolaire, plusieurs activités sportives étaient offertes aux élèves. J’ai accompagné une vingtaine d’élèves de 5e et 6e année lors d’une sortie en vélo, sur la piste cyclable du Canal de Chambly. Maxime Parisien, l’enseignant de Félix en 5e année, menait le bal. Un couple de grands-parents fermait la file. Deux heures de pur bonheur sur le bord de l’eau.

Demain, nous tournons une page d’histoire. Quatorze années se sont écoulées depuis notre premier contact avec le pavillon Curé-Martel. Vendredi, nous dirons adieu au pavillon St-Joseph. Félix, le p’tit dernier de la famille, gradue de l’école primaire de Richelieu.

L’école primaire fut au cœur de nos vies pendant plusieurs années, permettant de nous enraciner, de découvrir notre communauté, de nous y impliquer afin de l’embellir. Mathieu, l’aîné de la famille, est entré en maternelle en septembre 2000. Roselyne l’a suivi en 2003. Puis Félix en 2007.

Que ferons-nous, l’an prochain, sans les tournois scolaires des soirs de semaine à Marieville, suivis de ceux à Saint-Jean le samedi matin ? Mathieu, puis Roselyne et enfin Félix, furent des assidus de l’équipe des Dalton. Nous remerçions Daniel Papineau, le prof d’éduc qui fait bouger les enfants. Il en a mit des heures à suivre des générations de petits sportifs en devenir !

Nous avons vécu la réforme scolaire. Les profs se sont adaptés et ont fait preuve d’une imagination débordante pour inspirer les enfants à créer des projets plus fous les uns que les autres. Entre autres, un spectacle de cirque, un souper-spectacle, la réfection de la bibliothèque et celle du corridor du deuxième étage du pavillon St-Joseph. Rien n’a été à l’épreuve des enseignant(e)s de deuxième cycle !

Nos trois enfants ont eu Johanne Ostiguy comme prof au premier cycle et les trois ont complété leur séjour avec Sylvie Beaulieu. Merci à ces deux passionnées qui accomplissent de petits miracles tous les jours.

Merci à tous les autres profs, au personnel de soutien, à Robert le chauffeur de l’autobus scolaire, à Serge Groulx et Jocelyne Despins, deux directeurs forts sympathiques. Un merci spécial à tous les parents et grands-parents qui donnent de leur temps à l’école en participant aux nombreuses activités qui requièrent des bénévoles.

L’école primaire est un joyau de notre communauté. Une équipe extraordinaire la fait vivre. Nous vous remerçions du fonds du coeur, vous souhaitons un très bel été et vous disons à la prochaine !

17 juin 2014

Une accalmie

Mon manuscrit est en révision présentement. Je me retrouve donc en attente. En fait, non. Le travail se poursuit, à d’autres niveaux. La semaine dernière, nous avons créé la page couverture. Il aura fallu trois itérations pour parvenir au résultat final. Je suis très fier du résultat, que je vous présente en primeur (notez qu'il s'agit en fait d'une version numérisée à partir d'une impression jet d'encre, la qualité est donc moyenne). J’ai hâte de saisir ce livre dans mes mains, de sentir l’encre imprégnée dans le papier. De voir et toucher l'embossage de certains éléments (devinez lesquels).


J’ai approuvé, vendredi dernier, l’argumentaire qui présente mon livre aux libraires québécois. Nous rédigeons maintenant les textes de la quatrième de couverture (le verso du livre). Pour un introverti habitué à mettre en marché les projets des autres, se retrouver ainsi en « vedette » s’avère une expérience plutôt étrange. Surtout lorsque l’on parle de soi à la troisième personne du singulier.

J’en suis enfin à sélectionner cinq ou six photos marquantes, qui seront tramées et insérées en noir et blanc au début des différentes sections du livre. De quoi traite-t-il, au fait, ton livre ? Il s’intitule « Le journal d’un passionné des Jeux olympiques : quand le bénévolat sert de tremplin ». J’y raconte, bien sûr, mes expériences de bénévole à Vancouver et Sotchi. Mais aussi ma vie, ce qui m’a mené vers l’implication dans l’AIESEC et cette passion de découvrir le monde. Je dois à tous ces gens de tous les âges qui s’impliquent ce que je suis devenu. Je porte une parcelle de chacun des bénévoles passionnés que j’ai rencontrés. Et je veux partager cette passion avec le plus grand nombre de gens possible, par l’écriture, des conférences et de la formation.

Et là, comme d’habitude, le doute s’insinue dans mon cerveau. Quel sera l’accueil des libraires ? Mettront-ils le livre en plus d’un exemplaire sur leurs tablettes ? Une chose est sûre : je ne ménagerai pas les efforts pour le faire connaître ! J’ai l’impression que les chemins empruntés depuis ma naissance ne me servaient que d’apprentissage et de répétition générale pour l’ultime étape : vivre de ma plume.

12 juin 2014

Un livre en chantier !

Au début avril, lorsque j’ai rencontré Marie Brassard, suite à la recommandation de l’écrivaine Suzie Pelletier (auteure de la collection le Pays de la Terre perdue, comptant six tomes), j’ai mis en marche la machine à rêver.

Mot après mot, phrase après phrase, j’ai plongé dans l’histoire de ma vie. Le livre ne m’a jamais quitté l’esprit, pendant huit semaines. Peu importe l’endroit où je me trouvais, que ce soit au Nautilus Plus, à l’aréna à Granby, à Carleton-sur-Mer en Gaspésie lors de la Coupe Dodge, un calepin ou le MacBook m’accompagnaient. Pour une rare fois dans ma vie, je me suis concentré sur une seule et unique chose.

Le bonheur. Total.

Dimanche dernier, j’ai soumis la version stable de mon texte à Marie. Plus de 256 pages, en format lettre, interligne et demi. Je concluais ainsi la première étape de la création d’un livre, le manuscrit. Une réviseure effectue maintenant une lecture et annote. Nous recevrons le fruit de son travail cette semaine. Je replongerai dans l’écran pour raffiner cette V6.

En parallèle, la graphiste créé la page couverture. Nous en sommes à la V2. Le résultat m’enchante et me représente tout à fait. Hier soir, j’ai été chez mon ancienne collègue de la CIGM et amie, Chantal Perreault. Elle fait de la photo depuis plusieurs années et a installé un petit studio dans sa résidence de Saint-Hubert. Elle avait fait des recherches de photos d’écrivains sur Internet, pour que nous puissions discuter de ce que je voulais. Deux heures plus tard, je suis reparti avec une trentaine d’images. Ne reste qu’à choisir la plus appropriée, celle qui se retrouvera en 4e de couverture.

Marie prépare l’argumentaire, ce document format lettre de deux pages qui introduit le livre aux libraires québécois. Au recto, la page couverture, des mots clés, un résumé du livre et de ce que les lecteurs pourront y trouver. Au verso, ma photo et une brève biographie.

Dans moins de douze semaines, j’aurai un produit fini entre les mains. MON produit. En 2 000 exemplaires ! Pas un échangeur d’air de nouvelle génération, pas un outil de coupe révolutionnaire, pas une conférence à mettre en marché. Non. MON produit. Est-ce pour cela qu’à l’université, je me suis dirigé en marketing ? Que j’ai, pendant près de dix ans, créé des outils de communication pour vendre des produits ? Qu’ensuite, pendant onze années, j’ai organisé des événements et vu des conférenciers à l’œuvre ? Peut-être.

Je connais les prochaines étapes. Je les ai vécues à mainte reprise. La graphiste, à partir du manuscrit et des instructions de Marie, débutera le montage graphique du livre. Il prendra vie sous nos yeux. Je devrai approuver les maquettes, puis le montage final avant impression. J’approuverai le signet, les outils de communication, le communiqué de presse.

Ma vie semble être un long processus pour observer, analyser et apprendre. Toutes les pièces du puzzle s’assemblent une à une dans un ensemble cohérent. Fascinant d’observer tout cela !

Dans quelques mois, je serai assis à une table dans un salon du livre près de chez vous. J’aurai devant moi des copies de ce livre dont je rêve depuis si longtemps. Dans quelques mois, je raconterai mon histoire dans des écoles, dans des bibliothèques municipales.

Entre deux, me nourrissant de ces rencontres, je travaillerai à la création du prochain livre. Parce que c’est toujours le premier pas qui est le plus difficile.

Une fois débutée, la marche s’avère un merveilleux périple, remplie de découvertes plus fantastiques les unes que les autres.

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