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31 octobre 2012

Le futur sur mon mur

Octobre tire sa révérence dans 2 h 30. Des milliers de petits monstres ont parcouru les rues ce soir. Des milliers d’adultes se sont aussi déguisés pour se rendre au travail. Y avait-il des personnages de l’univers Tintin dans votre environnement? À la Chambre immobilière, les employés de deux services différents, sans aucune consultation, se sont retrouvés avec la même thématique : « On a marché sur la lune ». Quand ont dit que les idées ne cherchent qu’à émerger, en voici un bel exemple!

Le passage d’un mois à l’autre signifie pour moi de retirer une feuille et d’en ajouter une autre sur le calendrier qui se trouve à ma gauche au travail. Et oui, vous n’avez pas la berlue, c’est bien février 2013 que vous voyez. Je sors à peine d’une série de sept conférences en six jours que je planche déjà sur celles qui se tiendront fin janvier, début février 2013. J’ai une période de répit dans les deux premières semaines de novembre avant de repartir de plus belle à la fin du mois, avec la Tournée CIGM, qui mettra en vedette la conférencière Anne Marcotte.

Je vis donc presque toujours dans le futur, sauf dans les périodes intenses comme celle que je viens de vivre. Lorsqu’elles se produisent, j’ai l’impression de vivre en vase clos, concentré uniquement sur les tâches à accomplir pour livrer l’événement.

Le 11 novembre 2011, je débutais un défi un peu fou pour célébrer le 11-11-11 : écrire 111 billets de 111 mots en 111 jours. Il me semble que c’était hier. Sans relâche, j’ai pris des notes et rédigé mes billets, jour après jour. Je n’ai pas l’intention de me replonger dans un tel défi pour le 12 du 12 du 12 (ou le 20-12-2012 à 20h12). Mon défi actuel, c’est de réussir avec brio mes cours à la maîtrise. D’ailleurs, sur la photo, les vendredi et samedi en bleu représentent mes weekends de cours à l’Université de Sherbrooke.

Sur ce, bienvenue en novembre!

30 octobre 2012

En thérapie

Cette nouvelle série télé, diffusée à TV5 depuis septembre, est fascinante. Il s’agit d’une adaptation de la télésérie culte israélienne Be Tipul.
« En thérapie nous plonge dans le cabinet d’un psychologue pour y suivre les consultations de cinq patients; un pour chaque jour de la semaine. Chaque histoire de vie est une enquête captivante où chaque patient dévoile progressivement des indices afin de comprendre son mal de vivre ».
Dans mes premières années sur le marché du travail, en tant que professionnel du marketing, j’ai souvent pensé tout lâcher pour retourner aux études afin de devenir psychologue organisationnel. La vie étant ce qu’elle est, j’ai poursuivi mon chemin en marketing-communication et me suis spécialisé en événementiel.

Suivre cette série me permet donc de « vivre » de l’intérieur le travail effectué en thérapie. Seul dans son bureau, face à ses clients, le psychologue questionne et écoute. Sans porter de jugement. Je comprends pourquoi mes pas ne m’ont pas mené vers cette carrière. J’aime trop rencontrer des gens dans divers lieux et surtout, entendre leurs histoires. Je n’aurai pu être isolé ainsi à longueur d’année.

Depuis un mois, j’en vois tellement des gens aux quatre coins du Grand Montréal que j’ai délaissé le blogue. Même notre terminal illico a émis un avis de recherche à mon sujet. Nous avons cinq semaines de En thérapie à visionner! Huit conférences. Plus de 950 membres rencontrés à Anjou, La Prairie, Laval, Outremont, Pointe-Claire et St-Bruno. J’ajoute mes deux premiers weekends de cours à la maîtrise en gestion de la formation et ma charge de cours chez Zoom Académie et vlan! Le temps s’est envolé.

J’ai remplacé l’écriture par l’exercice. L’automne, je fais parti de ces gens affectés par la dépression saisonnière. La luminosité décroissante diminue ma vitalité. Tous les matins, je déjeune avec une lampe bleue. Et 4-5 fois par semaine, horaire chargé ou pas, je vais au Nautilus Plus m’entraîner pendant soixante minutes. Grâce au programme concocté par mon entraîneure, Véronique St-Pierre, j’ai augmenté de 20% ma capacité cardio-vasculaire dans les cinq dernières semaines. Sans le gras que je sens fondre...

Au début, toutes les excuses étaient bonnes pour ne pas y aller : « je suis fatigué, je suis trop occupé, j’ai pas le temps ». Les 10 premières minutes étaient presque un calvaire. Aujourd’hui, mon sac est toujours prêt. Le plus beau dans tout cela, c’est l’énergie retrouvée! L’exercice physique stimule le corps et l’esprit. J’affronte les après-midi et les soirées avec plus d’entrain qu’auparavant.

Dans mon métier de planificateur d’événements, supporter le stress avec un sourire est primordial. Être au sommet de sa forme n'est donc pas une option mais une condition de succès! Sinon, on risque de se retrouver en thérapie!

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