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23 novembre 2009

Le message se passe

J'ai commencé l'envoi de mon courriel samedi en fin de journée. J'ai poursuivi dimanche. À peine 48 heures après l'envoi du premier courriel, je découvre dans ma boîte de réception des messages d'amis de mes amis. Je pensais connaître la force du Net. J'ai lu et entendu des conférences sur le sujet. Ce n'est que le début et déjà, je sens un mouvement derrière moi.

Je constate que mon projet est un "work-in-progress". J'améliore le message, répond à des questions auxquelles je n'avais pas pensé. Je découvre en simultané le monde des blogues. Et surtout, je réalise qu'il faut beaucoup de détermination pour aller au bout de ses rêves. Je devrais pourtant bien le savoir, moi qui vient d'obtenir ma license de pilote privé. Pour les curieux qui aimeraient lire sur le processus d'apprentissage du vol, je vous suggère de lire l'execellent blogue de Alain Fréchette, Turbulence. Tout y est, du premier au dernier vol. Un "Must" pour les futurs pilotes! Je partage avec vous un extrait de son entrée du 18 novembre, qui résume très bien le sentiment dans lequel je me trouve ce soir:

En vol, j’ai découvert des sensations nouvelles et ce que j’avais imaginé était différent de la réalité. En observant attentivement mon instructeur, j’ai très vite réalisé l’ampleur du projet. Tout allait tellement vite. Dans ma tête ça courrait dans tous les sens. Sans le vouloir, je me suis tout de suite projeté dans le futur, SEUL aux commandes d’un avion et un étrange sentiment s’est développé, insidieusement. J’ai commencé à douter de mes aptitudes alors qu’une petite voix intérieure me disait: «Je ne serai jamais capable», «Pourquoi suis-je ici ?», «Est-ce que je veux vraiment faire ça ?». En descendant des premiers vols, j’avais les jambes molles et j’étais trempé comme un marathonien, à la fois excité par mon vol et anxieux du prochain. J’ai dû travailler fort pour visualiser mon objectif et ne pas me laisser distraire par ces émotions négatives.
Certaines des réponses obtenues de gens résidents à Vancouver laissent croire qu'il n'existe aucun logement à Vancouver, que la situation y est catastrophique, que les gens veulent louer à des prix exhorbitants. Et le doute de s'installer en moi pendant quelques minutes. Je fais alors comme Alain et visualise la pièce où je serai à North Vancouver. Je demeure convaincu qu'une famille m'acceuillera gratuitement. Je vous jure qu'il faut croire fort à sa bonne étoile ...

2 commentaires:

  1. Bonjour Christian,
    Je viens de recevoir ton courriel à travers une amie qui travaille aux HEC. J'habite à Vancouver, mais pas à North Vancouver, ni à côté de SFU. Je vais voir autour de moi s'il y a des possibilités. Oui les gens en profite à Vancouver pendant les jeux olympiques et je me demande comment ils arrivent à louer. Ce qui est dur c'est que VANOC veut des volontaires, mais il faut les loger.
    Je me renseigne et vais voir ce que je peux faire.
    Bon courage.

    Benoît

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